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PLFSS 2014 : la confiance de notre système de santé, une urgence sociale - 27/09/2013Vendredi 27 septembre 2013 - Communiqué de presse : Pascal Terrasse, secrétaire national à la Protection sociale, Martine Pinville, secrétaire nationale à la Santé PLFSS 2014 : la confiance de notre système de santé, une urgence socialeGarantir la pérennité de notre système de protection sociale, assurer son financement au service de la croissance et de l’emploi et mettre en oeuvre des réformes structurelles pour l’avenir dans une plus grande équité : tels sont les objectifs fixés par le projet de loi de financement de la sécurité sociale (PLFSS) pour 2014 présenté hier par le gouvernement. Le PLFSS 2014 permettra de porter les réformes structurelles engagées par le gouvernement. La réforme des retraites, les mesures relatives à la politique familiale et la stratégie nationale de santé sont un moyen de sécuriser notre modèle social. Le redressement des comptes de la Sécurité sociale se poursuivra en 2014. Déjà en 2013, le déficit diminue de 1,3 milliard d’euros. Le gouvernement endigue les déficits que la droite avait creusés honteusement et de manière irresponsable pour mieux privatiser notre Sécurité sociale. Le PLFSS 2014 permettra de le réduire encore de 3,4 milliards d’euros, sans toucher aux fondamentaux de notre modèle social. Notre système doit être plus efficace et mieux répondre aux populations les plus fragiles. Ce PLFSS 2014 permettra d’engager la stratégie nationale de santé récemment annoncée par Marisol Touraine, ministre des Affaires sociales et de la Santé avec l’objectif central d’amélioration de l’accès aux soins, notamment par la généralisation de la complémentaire santé. Il mettra aussi en oeuvre les décisions relatives à la rénovation de la politique familiale comme la majoration du complément familial pour les familles sous le seuil de pauvreté. Le Parti socialiste renouvelle sa confiance et son soutien au gouvernement de Jean-Marc Ayrault qui prend, une fois de plus, ses responsabilités : réduire la dette et les déficits publics et, parallèlement, sauver notre modèle social républicain en le réformant et en le rendant plus juste et équitable.
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