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Non à la fermeture du CESS - JCS - 22/10/2010JEAN-CLAUDE SALZIGER a déposé un voeu d’urgence au nom du Groupe des Elus de Gauche lors de la séance Plénière du 22 octobre 2010 Non à la fermeture du CESSDepuis cinq ans, au nom du Groupe des Elus de Gauche, j’alerte régulièrement l’Assemblée Départementale sur la fragilité de l’avenir du CESS de BAR LE DUC. Ce n’est pas moins de six vœux d’urgence que j’ai proposés à la réflexion de notre Assemblée sur ce sujet. Aujourd’hui nous sommes dos au mur : le Conseil d’Administration de l’Université Henri Poincaré (UHP) vient de formaliser dans sa réunion du 11 octobre 2010 le principe de la fermeture du CESS même si aucune date d’effet n’a été annoncée. La structure compte actuellement 19 étudiants en 1ère année et 7 étudiants en 2ème année. C’est peu mais c’est explicable puisque la seule filière offerte aux étudiants est relative aux Sciences du Vivant alors qu’à la rentrée 2009 une possibilité de choix s’offrait encore avec une 2ème option en Physique-Chimie. Les raisons du déclin du CESS sont à peu près connues :
Pourtant les raisons de fond qui ont présidé à la création du CESS sont toujours valides :
Compte tenu de l’urgence et de la gravité de la situation, nous appelons à la mobilisation générale : Conseil général évidemment, Ville de Bar-le-Duc, Chambres consulaires, Responsables du Triangle, lycéens, parents, tous ceux qui considèrent – et ils ont raison – que la Meuse doit et peut avoir un avenir universitaire. Cette mobilisation est d’autant plus urgente qu’en période de disette budgétaire, l’Université peut être tentée de fermer les centres départementaux pour se recentrer sur ses centres métropolitains traditionnels. C’est vrai pour le CESS aujourd’hui, ce pourrait être le sort de l’IUFM, demain.
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