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Présidence du CLIS de BURE - RC - 14/05/2009VŒU D’URGENCE présenté par Roland Corrier - Séance Plénière du 14 mai 2009 Présidence du CLIS de BUREMonsieur le Président, Depuis plusieurs mois, le CLIS de Bure ne fonctionne pas normalement. Le 12 avril dernier, lors du dernier Conseil d’administration et de l’assemblée générale du CLIS de Bure, le Président BATAILLE était absent-excusé. Au cours de ces dernières semaines, j’ai entendu plusieurs fois dire que le Président BATAILLE était démissionnaire. Monsieur le Président, Pouvez-vous nous dire si Monsieur BATAILLE est toujours président du CLIS ou, le cas échéant, si les Présidents des Conseils généraux de la Meuse et de la Haute-Marne ont l’intention de désigner un nouveau Président pour cette instance et à quelle échéance ? Réponse en séance : Il a adressé à M. SIDO, Président du Conseil Général de la Haute-Marne, et à moi-même une lettre par laquelle il exprime son intention de démissionner. Je l’ai rencontré avec Bruno SIDO à Paris ; nous avons longuement discuté. Compte tenu de son autorité et de son expérience, j’aurais souhaité qu’il reste, d’une façon ou une autre, à nos côtés pour nous aider dans une réflexion nationale et internationale. Nous sommes également en discussion avec M. Bruno SIDO : Voilà la réponse que je puis vous fournir aujourd’hui. Je pense que dans environ trois semaines, Bruno SIDO et moi-même aurons arrêté notre décision, s’agissant d’une décision commune des deux Départements. Je pense que d’ici quinze jours à trois semaines, nous aurons pris notre décision, à moins que, M.CORRIER, vous ayez vous-même à nous faire des propositions sur le futur Président du CLIS. M. CORRIER : Question complémentaire : M. Christian BATAILLE – je ne donne pas d’avis – reste-t-il personne qualifiée ou abandonne-t-il son statut de personne qualifiée au sein du CLIS ? M. LE PRÉSIDENT : Nous en discutons actuellement avec le Préfet. Si mes souvenirs sont bons, il a été qualifié par l’Assemblée Nationale. Il n’a pas exprimé le désir d’abandonner ses désignations. Mais cela fait partie des questions que nous lui avons posées et auxquelles il n’a pas encore répondu. M. CORRIER : Michèle RIVASI est également personne qualifiée. Nous n’avons pas eu l’occasion de la rencontrer au sein du CLIS. A-t-elle été désignée pour contrebalancer la présence de M. BATAILLE ? M. LE PRÉSIDENT : Elle a été désignée par le Préfet. Ce n’est pas de ma responsabilité. M. LHUILLIER : Monsieur le Président, je rebondis sur votre proposition faite à M. CORRIER de vous adresser des propositions. Nous n’en avons pas à vous faire, mais si vous souhaitez que nous discutions ensemble de la décision qui va vous incomber, nous sommes ouverts à la discussion. M. LE PRÉSIDENT : Je vous remercie de cette proposition. Nous en tiendrons compte.
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